La prière sacerdotale de Jésus montre que deux choses lui tiennent à cœur : La première « Que le monde croie que tu m’as envoyé » ; la seconde, « qu’ils contemplent ma gloire ». Conduire le monde à la foi et contempler sa gloire, voici donc ce que le Christ veut pour chacun de nous.

Les hommes construisent la paix sur la base de l’élimination sociale ou physique, de l’intimidation, de la méfiance, de l’hypocrisie. Cette forme de paix ne supprime pas les velléités de guerre et de conflit. La paix de Jésus est originale parce qu’elle ne vient que de lui et lui seul. Il est donc le seul capable de la donner. Il en est l’unique source.

La cité sainte descend du ciel : le ciel s’ouvre à la terre. Dieu s’ouvre aux hommes, à des êtres qui ne peuvent, en aucune façon, se comparer à lui. Combien plus nous devons nous ouvrir à nos semblables, à nos frères et sœurs, aux hommes, qu’ils soient bons ou mauvais, justes ou injustes ?

Comme le Christ, nous sommes invités à être des pasteurs. Le Pasteur, c’est celui qui encourage […]. Il s’agit aussi de se laisser guider, non par ses sentiments, ses opinions, mais par la volonté de Dieu.

Voici le message de Pâques : Jésus est ressuscité ; il est toujours vivant. Cela signifie qu’il est présent et qu’il agit. En effet, la vie est à la fois présence et mouvement. Ce qui vit est et se meut. Ainsi, le Ressuscité, est présent dans l’Eucharistie et agit à travers la mission de ses disciples.

A ceux qui disent qu'ils sont des Thomas, il est bon de répondre qu'ils sont par conséquent appelés par le Seigneur à cesser d'être incrédules pour devenir croyants, donc à suivre l'exemple de celui à qui ils s'identifient. Thomas […], après avoir été convaincu de la réalité de la résurrection de Jésus, va à quelque chose de plus grand, à ce qu’il y a d’essentiel dans l’expérience avec le Ressuscité : la foi.

Jésus entre comme un roi à Jérusalem pour être crucifié quelques jours plus tard comme un criminel.

L’évangile de ce jour comme celui du dimanche dernier nous fait contempler l’immensité de l’amour et de la miséricorde de Dieu.

Le christ a fait de nous ses ambassadeurs afin de remplir une mission dans ce monde : travailler à la réconciliation.

C’est le cœur de l’homme qu’il faut changer. Les lois ne protègeront pas les hommes d’eux-mêmes, de leur cruauté ou de leur imprudence.

Tant que nous marchons dans la lumière de Dieu, c’est-à-dire, selon sa volonté, nous n’avons rien à craindre ni personne.

Le temps de carême nous entraîne, avec Jésus, à mener ce combat contre la tentation et et à réaffirmer notre foi.

Ce temps de carême nous est offert pour nous ré-accorder pour que nous sonnions juste aux oreilles de Dieu et du monde.

Lien vers les textes du 8e dimanche ordinaire C "Enlève d’abord la poutre qui est dans ton œil" Réfléchissons quelque peu sur l’identité...

Aimer, c’est prendre le risque de ne pas être aimé en retour. Dieu a pris ce risque en son Fils et cela s’est avéré plus que payant.

Vivre en espérance, c’est être tendu vers le bonheur éternel plutôt que vers le bonheur immédiat.

Ce qui a fait des prophètes et des Apôtres de grands hommes, ce n’est pas leur pureté ni leur sainteté, c’est surtout leur humilité.

Cuve baptismale         En revenant sur les moments-clés du temps de la Nativité, on est frappé par la façon dont l’extraordinaire se...

Les mages portant leurs coffrets « Ils entrèrent dans la maison, ils virent l’enfant avec Marie sa mère ; et, tombant à ses pieds, ils...

La fête de la Sainte Famille que nous avons célébrée hier nous rappelle l’importance de la famille dans le projet de salut de Dieu.